Mobilités à l’international
Mobilités à l’international
Les doctorantes et doctorants s’inscrivant au parcours de l’EIR-A s’engagent à effectuer une mobilité d’au moins 3 mois dans un laboratoire à l’étranger. Ce séjour scientifique à l’international est une occasion unique pour eux d’acquérir une expérience culturelle à l’international, de s’ouvrir à d’autres réseaux et modes de pensée et d’accroître leurs compétences scientifiques et techniques. Ces mobilités facilitent la construction de leur projet professionnel et enrichissent leurs projets scientifiques, la qualité de leurs travaux de thèses et celles des publications scientifiques qui en résultent.
Le séjour à l’international est organisé par l’unité de recherche où l’étudiant(e) réalise sa thèse et par la structure qui l’accueille à l’étranger. Le/la doctorant(e), avec sa direction de thèse et son unité de recherche, est acteur(rice) de la recherche de la structure d’accueil à l’International et du financement de la mobilité. Le choix du moment de la mobilité est à la convenance des laboratoires. Il a lieu de préférence entre le premier et le deuxième séminaire pour optimiser la synergie entre le séjour de recherche à l’International et la participation aux deux séminaires, et si possible d’un seul tenant pour accroître l’aspect immersif du séjour.
Les possibilités de financement de la mobilité internationale varient d’un site académique à un autre : des opportunités locales sont proposées par des Écoles doctorales, des universités, Labex, Idex et I-Sites, et des collectivités territoriales. Des organismes de recherche ont également mis en place des dispositifs tels que INRAE et Cirad.
La Cellule de coordination et d’appui de l’Alliance Agreenium gère un programme de bourses Erasmus+. Elle peut en conséquence, en accord avec la Direction de thèse et avec la Commission de la formation doctorale d’Agreenium, accorder une bourse Erasmus+ aux doctorant(e)s qui ont effectué des démarches proactives et auxquels il manque une partie du financement pour réaliser leur mobilité. Ce programme soutient prioritairement les séjours de recherche dans les pays de l’Union Européenne.