De nombreuses villes misent sur la présence des végétaux pour réguler leur atmosphère et imaginent intégrer productions alimentaires et récréatives. Quelles sont les spécificités physiques et biologiques de ces écosystèmes urbains ? Quels services éco-systémiques (régulation de la température, cadre de vie, santé, …) peuvent être rendus par les communautés végétales présentes en milieu urbain ? Quel type de végétalisation est possible, souhaitable, en milieu urbain ? L’agronomie et les sciences du végétal peuvent-elle aider à concevoir ces nouveaux écosystèmes dans une perspective de résilience urbaine ? Cette question et d'autres, ont été débattues lors de ce colloque "Ville à haute intensité écologique : la place du végétal".
Voir les publications associées dans le CIAg Volume 45 / Octobre 2015
En conclusion du colloque "Ville à haute intensité écologique : la place du végétal", Laure Cormier (Institut d’Urbanisme de Paris - Université Paris Est - Lab’Urba) aborde la question de la végétalisation et des questions environnementales en ville d'un point de vue d'urbaniste.
Voir les publications associées dans le CIAg Volume 45 / Octobre 2015
L’Inra a livré le 16 janvier 2018 une expertise scientifique collective (ESCo) sur les leviers disponibles pour réduire l’usage du cuivre en protection des cultures biologiques. Cette expertise a été réalisée à la demande conjointe de l’Institut technique de l’agriculture biologique (Itab) et d’un programme fédérateur de recherche Inra (Métaprogramme SMaCH*). La démarche d’examen de la littérature adoptée et les résultats sont potentiellement applicables à d’autres problématiques agricoles cherchant à limiter ou éviter la consommation de certains intrants. Plus d'informations sur cette expertise scientifique collective.
Après avoir brièvement exposé la question de la gestion durable de biens communs, casse-tête pour les économistes depuis plus de quarante ans, Christophe Le Page (Cirad) énonce les principales conditions nécessaires à la gestion collective et durable d’un système socio-écologique complexe : exploration du fonctionnement de ce système, partage des connaissances, donc recherche, éducation, communication, concertation entre les parties prenantes, mais aussi motivation des acteurs.
© Agreenium, l'alliance de la formation et la recherche pour l'agriculture, l'alimentation, l'environnement et la santé globale - Mentions légales - CGU - Contact