UMR 441 - Laboratoire des Interactions Plantes - Micro-organismes (LIPM)

Depuis sa création, le LIPM a comme champ de recherche prioritaire les interactions entre les plantes et les micro-organismes symbiotiques ou pathogènes, par des études concertées des partenaires microbiens et végétaux.
Ces recherches sont réalisées sur un petit nombre d'espèces modèles (Arabidopsis thaliana, Medicago truncatula), mais aussi plus récemment sur des modèles d'intérêt agronomique tels le Tournesol ou la Tomate.

Ces études nous permettent d'aborder des questions biologiques centrales, relatives aux déterminants du pouvoir pathogène et symbiotique, aux mécanismes infectieux, aux processus de signalisation inter- et intra-organismes, aux programmes de développement, au contrôle de l'expression génique ou enfin aux mécanismes d'adaptation métabolique. L'organisation des génomes bactériens et végétaux est aussi une problématique que nous abordons, par les approches de la bioinformatique et de la génomique.

De nouveaux axes de recherche concernent la compréhension des processus d'évolution et d'adaptation des organismes, en posant notamment les questions de la relation entre mutualisme et pathogénèse et de spécificité d'hôtes.

Le LIPM aborde donc des problématiques qui ont un impact fort sur l'agriculture et l'environnement. Ses recherches ouvrent comme perspective finalisée l'émergence de nouveaux concepts et outils de lutte contre les bioagresseurs. Les interactions symbiotiques jouent un rôle essentiel dans la nutrition minérale des légumineuses, dont on redécouvre aujourd'hui les multiples intérêts sur le plan agronomique, économique, environnemental et nutritionnel.

Les recherches développées au LIPM concernent principalement l'étude de la réponse des plantes à leur environnement biotique, et plus particulièrement des interactions symbiotiques et pathogènes, avec des études concertées des partenaires microbiens et végétaux.
Ces études nous permettent d'aborder des questions biologiques centrales, relatives aux déterminants du pouvoir pathogène et symbiotique, aux mécanismes infectieux, aux processus de signalisation inter- et intra-organismes, aux programmes de développement, au contrôle de l'expression génique ou enfin aux mécanismes d'adaptation métabolique.

École(s) doctorale(s)
ED 458 - Sciences écologiques, vétérinaires, agronomiques et bioingénieries
Établissements co-accrédités : Institut National Polytechnique de Toulouse, Université Paul Sabatier (Toulouse), INSA Toulouse
Directeur : Claude MARANGES