L’artificialisation du territoire est aujourd’hui considérée à la fois comme l’un des principaux facteurs d’érosion de la biodiversité et comme une perte nette de ressource pour l’agriculture et les espaces boisés et naturels. L’expertise scientifique collective de l’Ifsttar et de l’Inra, dont les résultats ont été présentés et mis en débat lors d’un colloque le 8 décembre 2017, montre que limiter l’artificialisation des sols doit aussi s’accompagner d’outils pour réduire les impacts de l’artificialisation. Plus d'informations sur cette expertise scientifique collective.
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